Un moment unique !!!

Hippopotame
Hippopotame

 

La famille
La famille

Beau regard, n'est-ce pas ?
Beau regard, n’est-ce pas ?

Les regards se croisent entre la bête et l’humain. Qui découvre l’autre ?

Pour découvrir le début de ce récit, il vous suffit de cliquer ici

Aux dires de notre guide, nous avons assisté à un moment exceptionnel. La protection du territoire. Les lionnes, le lion se lancent dans une sorte de chant composé de rugissements destiné à écarter les indésirables désirant se joindre à ce groupe.

Comment ça ?

Il faut déjà partir car la
nuit va tomber très rapidement maintenant.

Vous êtes sur ???

Comme je haïs cette aiguille de montre qui dans l’avion me paraissait s’être arrêtée et qui maintenant… J 3

6h passé de quelques poignées de minutes et…

…en ce lever de soleil bien silencieux sur le Masaï Mara, il n’y a pas que l’espèce animale qui est à l’affût. Dans notre attente, nous sommes récompensés par le réveil de renards du désert parmi tant d’autres scènes plus tendres les unes que les autres.

Un moment unique
Un moment unique

Le souvenir qui sans doute restera gravé de ces heures matinales sera sans nul doute ce superbe troupeau d’éléphants.

Placé à l’identique comme la veille, les lionceaux accompagnés sont toujours là. Un mâle pourtant essayera de s’imposer en vain.

Un lion
Un lion

Des lionceaux
Des lionceaux

Vous l’avez déjà vu ou entendu en reportage mais avez-vous déjà par vous-même vu plus de 500 têtes de buffles ?

Partout autour de nous, les cornes sont là. Ces espèces imposantes ne supporte pas trop notre présence et de ce fait la séance photo s’en trouve réduite très rapidement.

Gnous, zèbres
Gnous, zèbres

Plus loin, gnous, zèbres… sont venus des 4 coins de la Tanzanie pour migrer au Kenya.Notre présence est parmi eux, en plein milieu de cette chevauchée. Combien en traversant la rivière ne reverront jamais l’autre rive ?

Le destin les guette, les piétine, les dévore mais le festin pour certains est là !!!

La loi de la nature !!!

La loi de la nature !
La loi de la nature !

Un appel de cibie et tout à coup, au détour d’un coin de savane 2 guépards se dressent devant nous. A en croire notre guide, le guépard se fait de plus en plus rare mais aussi plus discret.

A pied en longeant les bords de la rivière Mara, crocodiles, hippopotames se prêtent au jeu de l’objectif.

Un crocodile
Un crocodile

Un hippopotame
Un hippopotame

Au retour et de vraiment très près, des girafes, à seulement quelques mètres… des éléphants

Un éléphant
Un éléphant

mais également…

…la possibilité offerte de visualiser une chasse de lionnes.

Unique !!!

Un peu fatiguée, la vessie prête à exploser enfin soulagée, c’est sans regret que la farniente se poursuit l’après-midi autour de la piscine.

Autour de la piscine,
Autour de la piscine,

Quoiqu’à 2000m d’altitude, il fait un peu frais et la température de l’eau de ce jour nous est restée inconnue.

En soirée après les danses masaïs, une surprise de taille nous étaient réservée. Le personnel du lodge revenait de jeter quelque chose. Dire que deux minutes se sont écoulées depuis serait mentir.

Hyènes, chacals sont en train de se restaurer sans se soucier des alentours.

J 4

Chute touristique très attendue, (car l’Etat y voit son intérêt), « le Carnivore ». Restaurant, qui franchement entre nous, mais attention n’engage que moi ne me laissera vraiment pas un souvenir impérissable. Cette journée ne sera pas dure à se rappeler non plus car à part une terre rouge splendide visible tout au long de la route… et 700 km pour rejoindre Amboseli.

Amboseli Sopa Lodge nous voilà enfin… mais tellement crevé par la piste que tout le monde est au lit à 20h30.

J 5

En direction du parc d’Amboseli, je m’aperçois sans problème que le côté pile de la pièce est tourrnée. Nous sommes cette fois du côté face. Totalement et radicalement différent. Rien à voir avec le Masaï Mara. Ici, tout est vert, marécageux. Regardez, plongez vos yeux dans cette terre encore relativement vierge.

Les éléphants affluent littéralement de tous les horizons.

Les fauves ne font pas trop fureur ici. Gnous, phacochères, gazelles, zèbres… sans problèmes.

D'après vous ?
D’après vous ?

Des centaines voir plus d’espèces d’oiseaux volent dans le ciel. A propos, vous le reconnaissez ?Est-ce jour de chance ? Peut-être mais nombreux seront celles et ceux à ne pas rater la photo d’un guépard en train de festoyer.

Le Kilimandjaro
Le Kilimandjaro

De retour de safari, combien d’images peuvent vous traverser la tête lorsqu’en fin de journée, vous vous retrouvez en compagnie de masaïs et que vous voyez au loin le Kilimandjaro. Impossible à quiconque en cet instant de ne pas penser à ces neiges éternelles mais aussi et surtout à la folie destructive des hommes.

Sachons préserver Dame nature !!!

J 6

Le coeur gros, les heures filant à la vitesse de l’éclair, il nous faut quitter cette partie safari afin de penser à présent regarder devant.

Direction Mombasa
Direction Mombasa

Direction Mombasa.

Ce qui choque à Mombasa est cette perte de vue du Kenya. Je ne le reconnais plus, je ne le retrouve plus. Le décor est changé, les gens également…

On se croirait ailleurs.

Le Southern Palm Beach. Je repense à ces lodges que nous avions si intimes alors qu’ici…

…ici, c’est : piscines, fausses îles, chambres par centaines. Un véritable piège à touristes. La plage, quant à elle est de toute beauté et il faut bien le reconnaître, le personnel fort accueillant.

La suite de ce séjour se déroule tranquillement avec au programme : repos, farniente, détente sans oublier un point très important : la plongée.

Réserve marine de Wasini,
Réserve marine de Wasini,

Réserve marine de Wasini. Rappelez-vous ce nom et peut-être, y croiserez-vous comme nous des dauphins. Un moment idyllique. Je n’arrive toujours pas à me séparer de ce fond marin tout simplement magnifique avec ces coraux, ces poissons en tous genres et tout cela simplement grâce à un masque et un tuba.

Je vous invite également à découvrir sans retenue cette cuisine typique Kenyane avec sa salle à manger ouverte sur la mer. Attention aux oursins lorsque vous descendrez du petit canot afin de vous rendre sur l’île.

Quant à moi, tel un masaï sans caprin, je me tourne vers « l’Oldonyo Lengaï » et lui souffle ces quelques mots :

L'Oldonyo Lengai
L’Oldonyo Lengai

« Oh Dieu de la montagne, si tu m’entends, exauce-moi. Sache qu’en juillet 2006, je serai à nouveau là. Je t’en supplie, aide-moi dans ma démarche, trouve moi un stage et pourquoi pa

s un futur job. Fais en sorte que ces quelques mots qui s’inscrivent ici-bàs me portent chance.

Laisse-moi les aider, les assister, les soigner mais surtout, surtout, laisse-moi rêver. »